Je partage la route

Retour sur route

Tout d’abord, l’état de la blessure.

Ce n’est pas la guérison totale, mais je suis en mesure de pédaler sans ressentir de douleur. Alors pourquoi se priver? J’ai quand même ralenti, pas par peur, mais par précaution afin que le choc soit moins violent en cas de chute au même endroit. Dès que la peau sera complètement guérie, je vais me remettre à la vitesse habituelle. Pour l’instant, la peau fait encore mal si je me met à genou sur la blessure.

Pour passer par-dessus menalement, j’ai pédalé jusqu’au lieu de l’accident hier et la pluie de samedi ayant rempli les nids-de-poule, les dangers étaient aisément visibles sous la forme de flaques d’eau.
Cela fait du bien de me voir habiller ainsi!
 

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