Je partage la route

Archive pour la catégorie ‘grimper’

Reprise des travaux dans le col des cascades féériques

Réapparition du panneau orange. Les travaux commencés l’an dernier continuent. Cependant, il n’y a plus d’avis de fermeture de route.

Un résident du col prétend que plusieurs sorties de routes ont eu lieu dans le col. La municipalité a présenté une demande pour déplacer une glissière de sécurité.

Cette trace de roue dans le sable indique que quelqu’un est passé près de tomber dans les cascades.

Le meilleur moment pour observer les cascades est au printemps lorsque le débit est fort et que l’absence de feuilles dans les arbres rend l’observation plus facile.

Il reste encore de la neige sur le côté de la route en bas du col et en raison des travaux, je ne suis pas monté 100m plus haut pour voir de qu’il en est, mais en général, à 297m d’altitude, le refroidissement n’est pas appréciable. Il reste aussi de grandes quantités de sable servant à faire fondre la glace. Ce sable représente un danger pour les cyclistes par ce qu’il est glissant (nos roues peuvent rouler dans le vide et le freinage est compromis), par ce que si le sable bouche un trou et que notre roue s’y enfonce, c’est un ralentissement brutal et une chute possible et de plus, ce sable est corrosif pour nos composantes.

Jusqu’à la disparition de ce sable, je vais devoir circuler en vélo hybride.

Le col des cascades féériques

Comme les montées québécoises sont anonymes, j’ai décidé de leur attribuer des noms.

Le col des cascades féérique doit sont nom aux cascades qui longent le bas du parcours. En été, il n’est pas toujours aisé de voir les cascades au travers les branches, mais on les entends facilement. Sur une carte satellite, on ne voit rien parce que les arbres recouvrent les cascades. Même le lac Parent est difficile à voir à partir de la route durant l’été.

 

Le col vue du ciel

À LAP001 1 on voit ce panneau qui indique le début de la descente.

 Panneau du haut

Cette descente est très courte et se termine par une petite montée. À LAP002 un panneau indique 10% et à LAP003 on trouve le dernier panneau

 

Premier panneau D

L’ancienne petite école du 9è rang, en route vers LAP002.

La petite école

Les cascades sont bien cachées, mais on les entends facilement.

Oui il y a une cascade ici

Voici le col sur une carte topographique.

Premièrement de LAP003 à LAP002

De lap3 à lap2

Ce n’est qu’une courte montée qui ne présente aucune difficulté en raison de la petite descente juste avant la montée. N’importe qui capable d’atteindre LAP002 n’aura aucune difficulté à rejoindre LAP003. Maintenant allons de LAP002 à LAP001.

De lap2 à lap1

On traverse un bon nombre de courbes de niveau vers la fin de la montée ou au début de la descente. En montée, c’est plus forçant que le segment précédent mais seule la dernière partie avant LAP002 est vraiment à 10% tel qu’indiqué par le panneau.

La portion le plus abrupte est le début de l’ascension.

Fin de la descente

Le parcours passe presque perpendiculairement aux courbes de niveau. La flèche indique la début traditionnel du col: l’intersection en Y. Le début devant être un endroit facilement reconnaissable, on ne peut pas le placer aléatoirement. On pourrait ajouter 20m de grimpe au parcours en partant d’une autre intersection mais la pente plus faible risquerait de faire perdre la quatrième catégorie. D’après le logiciel, la catégorie est acquise à LAP002.

C’est de LAP001 au début que les cascades féérique nous accompagnent. Contrairement à carte qui place les cascades toujours du même côté de la route, on traverse deux fois la coulée durant la montée.

S’il n’y a presque jamais personne dans le col, c’est en raison de l’asphalte médiocre.

Etat de la route

Il faut toujours faire attention où on pose la roue.

Ce minuscule col ne mérite pas que l’on fasse 100km en voiture pour y rouler en vélo mais pour ceux qui demeurent près, c’est un bel exercice.

Le parcours des deux sommets

J’ai découvert un site qui calcule la catégorie d’une ascension.

Le parcours des deux sommets

La montée de troisième catégorie est facile à placer sur ce profil d’élévation mais la position exacte de la deuxième de quatrième catégorie est plus nébuleuse.

Le profil d'élévation

En fait, la deuxième montée catégorisée est courte et abrupte, ce qui lui permet d’être catégorisée avec un longueur très modeste. Les petites bosses sans catégorie sont très nombreuses et contribuent au fait qu’après 43 km, on a déjà grimpé de 580 m.

Conseil de sécurité: dans la descente de la montée de troisième catégorie, ne pas oublier de remonter la fermeture éclair de son maillot. Lorsque j’ai atteint 63 km/h, l’effet parachute de l’air qui gonflait le maillot est devenu significatif.  Cela à fait vibrer le vélo et j’ai été obligé de freiner. Ce vélo peut descendre avec stabilité à plus de 90 km/h, ce n’est donc pas le cadre qui vibrait. La descente est bien pavée, mais dès qu’elle se termine, on passe sur du bitume atroce. Il faut penser à freiner pendant que l’asphalte est encore bonne et que les deux roues touchent au sol.

Construction routière: le parcours passe devant un pont barré. L’entrave permet au vélos et aux piétons de passer facilement, mais ce n’est pas clair si c’est permis de traverser ce pont. Voici la position de ce pont:


View Pont Barré in a larger map


Il est facile d’emprunter un autre pont situé à proximité.


View Détour Pont barré in a larger map

Une belle boucle vallonnée

Voici une belle petite boucle sur laquelle il faudra s’habituer à ce genre de panneau. En fait,7%, c’est plutôt gentil comme pente.


Au début, on descend vers Saint-Gabriel-de-Brandon.  Sur 8,5 km, on monte de 37m et on descend de 68m. Un côte offre la possibilité de dépasser 50 km/h.  Lorsqu’on attaque le sixième rang, le véritable plaisir commence.

À partir de l’intersection du chemin du Lac Mondor, la route descend ce qui mous donne un répit. De Saint-Jean-de-Matha à Sainte-Béatrix, les principales côtes sont celles attribuables aux vallées en V creusées par la rivière Noire et la rivière l’Assomption. Les deux ponts qui enjambent ces rivières sont au font de la vallée et on doit descendre pour les traverser et remonter par la suite. La descente vers la rivière noire est à 15% et permet d’atteindre plus de 90 km/h si on l’attaque à haute vitesse.   La suite du parcours comporte la majorité des vallons. Après la montée qui suit le pont ont a une belle vue sur le 9% qui mène à Sainte-Béatrix et sur un beau 14% que l’on aperçoit au loin et qui n’est pas si pire que cela par ce qu’il est court.

Voici le chemin de Saint-Jean-de-Matha jusqu’à Sainte-Béatrix. La boucle en haut est à faire au retour afin d’avoir une meilleure vue sur la rivière Noire.

La petite tâche rouge est l’endroit où on peut dépasser 90 km/h, mais on doit avant tout s’assurer de pouvoir le faire sans danger ce qui n’est pas le cas quand le vent souffle trop fort. Voici quelques photographies de cette portion du parcours.

La montée de 9% vers Sainte-Béatrix, la position du clocher indique que l’on a pas fini de grimper.

Un beau petit 14% au loin dans le rang Saint-Joseph. Il faut tout d’abord grimper le 9% pour l’atteindre. Ce 14% est relativement court et n’est pas très difficile à grimper.

Voici la dernière portion du parcours que j’ai roulé dans le sens horaire.

Passer par Sainte-Mélanie est optionnel, mais par temps chaud, une des gourdes est normalement complètement vide rendu à ce point et on peut ravitailler au dépanneur de Sainte-Mélanie. Rendu là, on fait demi-tout afin d’éviter une route à fort débit de circulation.

Le trajet tel que tracé va directement à Sainte-Béatrix mais on peut aussi passer par le rang Saint-Joseph ce qui permet d’observer le paysage en haut du 14% précité.

On retourne au point de départ et une autre belle journée est terminée.

La parcours des trois sommets

J’ai pris un certain retard dans la publication de mes randonnées mais je n’ai certainement pas arrêté de rouler. Voici le parcours du jour qui grimpe le col précédent par la face nord. On peut cliquer dessus pour le voir en mode plein écran sur le site GPSies.com .



La face nord est beaucoup plus abrupte que la face sud. Voici son profil d’élévation dont l’altitude est exagéré d’environ 20m. Je ne suis pas certain de la pente non plus par ce que le GPS n’est pas toujours fiable à basse vitesse lorsqu’il mesure la pente. Je peux quand même affirmer sans erreur que les passages mesurés à plus de 20% sont ardus.

Voici la différence, l’approche nord à gauche et l’approche sud à droite. On remarque sans peine que l’approche par la face sud est beaucoup plus facile.

Voici le profil de l’ensemble du parcours que j’ai nommé le parcours des trois sommets. J’ai passé par le site de Garmin afin de jouir de la correction d’altitude.

<a href= »http://www.gpsies.com/map.do?fileId=ngirmoswjngatkes » title= »GPSies – Le parcours des trois sommets »><img src= »http://www.gpsies.com/images/linkus.png » border= »0″ alt= »GPSies – Le parcours des trois sommets » /></a>

Rivière Blanche et Feuille d’Érable

J’ai découvert ce chemin en raison d’un détour imposé par des travaux routiers.  Le Chemin de la Rivière Blanche et sa continuation, le rang de la Feuille d’Érable, cachent un beau petit sommet. J’ai baptisé le chemin qui y conduit le col sans nom.

Voici le profil d’élévation du col sans nom.

C’est une ascension relativement facile par ce que chaque grosse montée est suivie dune portion plus plate dans laquelle on peut  récupérer.

Voici le parcours complet.

L’altitude du sommet est de 360m selon la correction d’altitude de Garmin Connect . Le chemin qui monte à 400m que l’on voit sur la carte est un chemin privé et non-pavé. Deux excellentes raisons de ne pas s’y aventurer en vélo de route.

Le paysage est très beau avec une rivière qui longe une partie du parcours. J’ai vu un canard égaré seul sans les canetons qui suivaient derrière. L’asphalte n’est pas superbe tout le long du parcours, mais la beauté du paysage vaut le détour. La descente principale est en mauvaise état et il faut utiliser les freins à plusieurs endroits.

Le profil du Chemin Beaulieu

Voci où se trouve le Chemin Beaulieu.

Voici le profil de cette montée très difficile. Il suffit de cliquer sur la petite image pour voir l’image pleine grandeur. Il va falloir que j’y retourne par ce que j’ai effectué trop de pauses durant la montée. Sans ma ceinture de rythme cardiaque, je n’ai pris aucun risque.


Saint-Zénon

Saint-Zénon est le village le plus haut de la région de Lanaudière. Malheureusement, on ne peut pas grimper en vélo jusqu’à l’altitude maximale.

L’accotement de la route qui y mène a été asphalté, ce qui est essentiel en raison du fort débit de circulation sur cette route qui est le seul lien entre Saint-Zénon et le reste du Québec.

Note importante: d’après les cartes, le GPS a surestimé l’altitude d’environ 30m durant toute la durée de l’entraînement. Le GPS est équipée d’un altimètre barométrique qui est supposé se caler tout seul au départ. Malheureusement, cela ne fonctionne pas toujours convenablement et Garmin offre la fonction de correction de l’altitude sur son site, une fonction que mon logiciel ne possède pas.

Le parcours est simple et il est pratiquement impossible de se perdre en chemin.

Le parcours est vallonné, mais il est excellent pour s’entraîner par ce que des sections plus faciles suivent les sections difficiles.  Voici le profil du parcours complet. Le chiffre «1» indique la position de l’église de Saint-Zénon.

Voici maintenant  les portions intéressantes du parcours. Tout d’abord, la montée vers le plateau intermédiaire.

On remarque sans peine que cela est plus facile qu’il n’y parait: il n’y a que cinq passages au dessus de 6% et ils sont relativement courts. La deuxième partie intéressante va du plateau jusqu’à l’église de Saint-Zénon.

Cela grimpe de manière presque constante sur 7 km du 30è au 37è km et avec le vent, les courtes descentes à 1% ne permettaient pas vraiment de se reposer. Après le 38è km, il y a une belle montée à 10%. À l’entrée du village, il y a une descente suivie d’une montée à 12% selon mon GPS et à 14% selon la signalisation routière.  Cette montée est courte, ce qui permet d’atteindre le village sans trop forcer.  Il n’y a pas vraiment de longue montée abrupte sur ce trajet.

Le retour est beaucoup plus rapide que l’aller.

Voici des images du village de Saint-Zénon que l’on peut trouver sur l’Internat. À la 50è seconde  du diaporama, on peut voir le panneau qui indique la pente raide de 14%.

Diaporama de Saint-Zénon

Le Grand Beloeil

Hier, j’ai roulé un nouveau parcours qui grimpe le Grand Beloeil.

Il y a de la construction à Saint-Jean-de-Matha et le détour proposé n’est bon que pour les automobilistes par ce qu’il emprunte une section gravelée dans laquelle il faut marcher à côté de son vélo. Certaines sections de la route 233 sont vraiment mauvaises car la seule asphalte praticable se situe se situe loin du bord de la route. Ce qui à l’apparence d’un raccourci en bleu près de Saint-Damien n’en est pas un par ce que ce chemin n’est pas pavé. Il est préférable de demeurer sur la 131 jusqu’à la route 347 même s’il y a plus de relief sur cette route que sur le reccourci.

Voici le profil d’élévation de cette randonnée.

Le GPS a sous-estimé l’attitude de moins de 5 m. On voit très bien le Grand Beloeil dont la grande taille ne doit pas nous faire oublier que le parcours compte plusieurs autres montées qui bien qu’ayant l’air petites sur le graphique, sont en réalité appréciables.

Voici le clou de cette randonnée: le Grand Beloeil . Afin de voir l’image pleine grandeur, il faut cliquer sur le bouton de droite de la souris et choisir afficher l’image.

On remarque sans peine le passage à presque 24%.

Le Grand Beloeil vaut la peine d’être pédalé. Cependant, on devrait refaire le bitume de la route 233 avant qu’il y ait un déplorable accident.

La tarte au sirop d’érable

La sortie de la tarte au sirop d’érable est un tradition vélocia. Il s’agit d’effectuer un parcours à partir de Notre Dame de Stanbridge jusqu’à Frelighsburg afin de savourer la délicieuse tarte au sirop d’érable au café Les sucreries de l’érable.

Voici la vitesse de cette sortie.

C’est un parcours vallonné avec quelques côtes.

Ce fut la plus grosse sortie vélocia de l’année à laquelle j’ai participé et cela fut bien plaisant. Un beau parcours roulé en excellente compagnie.