Archive pour la catégorie ‘Parcours du jour’
Le col des cascades féériques
Comme les montées québécoises sont anonymes, j’ai décidé de leur attribuer des noms.
Le col des cascades féérique doit sont nom aux cascades qui longent le bas du parcours. En été, il n’est pas toujours aisé de voir les cascades au travers les branches, mais on les entends facilement. Sur une carte satellite, on ne voit rien parce que les arbres recouvrent les cascades. Même le lac Parent est difficile à voir à partir de la route durant l’été.
À LAP001 1 on voit ce panneau qui indique le début de la descente.
Cette descente est très courte et se termine par une petite montée. À LAP002 un panneau indique 10% et à LAP003 on trouve le dernier panneau
L’ancienne petite école du 9è rang, en route vers LAP002.
Les cascades sont bien cachées, mais on les entends facilement.
Voici le col sur une carte topographique.
Premièrement de LAP003 à LAP002
Ce n’est qu’une courte montée qui ne présente aucune difficulté en raison de la petite descente juste avant la montée. N’importe qui capable d’atteindre LAP002 n’aura aucune difficulté à rejoindre LAP003. Maintenant allons de LAP002 à LAP001.
On traverse un bon nombre de courbes de niveau vers la fin de la montée ou au début de la descente. En montée, c’est plus forçant que le segment précédent mais seule la dernière partie avant LAP002 est vraiment à 10% tel qu’indiqué par le panneau.
La portion le plus abrupte est le début de l’ascension.
Le parcours passe presque perpendiculairement aux courbes de niveau. La flèche indique la début traditionnel du col: l’intersection en Y. Le début devant être un endroit facilement reconnaissable, on ne peut pas le placer aléatoirement. On pourrait ajouter 20m de grimpe au parcours en partant d’une autre intersection mais la pente plus faible risquerait de faire perdre la quatrième catégorie. D’après le logiciel, la catégorie est acquise à LAP002.
C’est de LAP001 au début que les cascades féérique nous accompagnent. Contrairement à carte qui place les cascades toujours du même côté de la route, on traverse deux fois la coulée durant la montée.
S’il n’y a presque jamais personne dans le col, c’est en raison de l’asphalte médiocre.
Il faut toujours faire attention où on pose la roue.
Ce minuscule col ne mérite pas que l’on fasse 100km en voiture pour y rouler en vélo mais pour ceux qui demeurent près, c’est un bel exercice.
Le barrage de Saint-Didace
Le lac Maskinongé n’étant pas encore dégelé, tous les évacuateurs de crues du barrage sont en position ouverte, ce qui est rare.
Le parcours est encore sale et même très sale dans les rangs.
La saison de l’hybride n’est donc pas encore terminée.
Le parcours vous amène à la base de la Montagne à Zamette, nous en reparlerons une prochaine fois.
Le barrage de Saint-Didace http://www.saint-didace.com/tourisme/?id=28#moulin
Ma première sortie en 2013
Voici ma première sortie en hybride cette année. Les routes sont encore trop sales pour rouler en vélo de route.
J’ai ajouté une nouvelle source de cartes pour le traitement de mes entraînements. Cette carte, Open Cycle Map, à l’avantage d’offrir des courbes de niveau.
Fin des travaux à Saint-Cuthbert
J’ai effectué une autre visite à Saint-Cuthbert afin de ravitailler au dépanneur du village.
J’ai constaté la fin des travaux sur la rue principale. Cependant, plusieurs ponceaux sur le Grand Rang Saint Catherine ont été réparés et sont actuellement dépourvus d’asphalte. De plus, de la machinerie lourde travaillait sur un ponceau imposant un détour qui pourrait ne pas être pavé.
Le parcours des deux sommets
J’ai découvert un site qui calcule la catégorie d’une ascension.

Le parcours des deux sommets
La montée de troisième catégorie est facile à placer sur ce profil d’élévation mais la position exacte de la deuxième de quatrième catégorie est plus nébuleuse.

Le profil d'élévation
En fait, la deuxième montée catégorisée est courte et abrupte, ce qui lui permet d’être catégorisée avec un longueur très modeste. Les petites bosses sans catégorie sont très nombreuses et contribuent au fait qu’après 43 km, on a déjà grimpé de 580 m.
Conseil de sécurité: dans la descente de la montée de troisième catégorie, ne pas oublier de remonter la fermeture éclair de son maillot. Lorsque j’ai atteint 63 km/h, l’effet parachute de l’air qui gonflait le maillot est devenu significatif. Cela à fait vibrer le vélo et j’ai été obligé de freiner. Ce vélo peut descendre avec stabilité à plus de 90 km/h, ce n’est donc pas le cadre qui vibrait. La descente est bien pavée, mais dès qu’elle se termine, on passe sur du bitume atroce. Il faut penser à freiner pendant que l’asphalte est encore bonne et que les deux roues touchent au sol.
Construction routière: le parcours passe devant un pont barré. L’entrave permet au vélos et aux piétons de passer facilement, mais ce n’est pas clair si c’est permis de traverser ce pont. Voici la position de ce pont:
View Pont Barré in a larger map
Il est facile d’emprunter un autre pont situé à proximité.
View Détour Pont barré in a larger map
Travaux à Saint-Cuthbert
Il y a de la construction routière à Saint-Cuthbert. Ce chantier n’est pas indiqué sur le site de Transports Québec. Ceux qui n’ont aucune raison de circuler dans le village peuvent le contourner par le rue Côte Joly. Cette rue porte mal son nom car elle ne compte aucune côte digne de ce nom. Dans le village, il faut rouler sur les trottoirs, c’est la seule option possible à moins de circuler en vélo de montagne par ce que le gravier dans la rue est beaucoup trop gros pour circuler en vélo de route. Ce trottoir ne couvre pas l’ensemble du village et il faudra porter ou pousser son vélo pour traverser l’ensemble du village. Lors de mon passage, un panneau indiquait que la rue est fermé sauf pour la circulation locale, sauf que c’était évident qu’aucun véhicule ne pourrait y circuler. L’entrave se situait juste après le pont. En vélo, cela passe en marchant sur un terrain privé dont le propriétaire est très compréhensif. La position exacte de l’entrave devrait varier avec l’avancement des travaux.
En venant du sud, l’asphalte arrête au dépanneur du village, ce qui permet de ravitailler facilement en cas de besoin. Cela pourrait changer sans préavis avec la progression du chantier.
Le détour
Voici maintenant le parcours complet.
Ce n’est pas le parcours le plus direct vers Saint-Cuthbert, mais lorsqu’on le roule un jour férié, ce chemin à le grand avantage d’avoir un très faible débit de circulation motorisée.
Une belle boucle vallonnée
Voici une belle petite boucle sur laquelle il faudra s’habituer à ce genre de panneau. En fait,7%, c’est plutôt gentil comme pente.
Au début, on descend vers Saint-Gabriel-de-Brandon. Sur 8,5 km, on monte de 37m et on descend de 68m. Un côte offre la possibilité de dépasser 50 km/h. Lorsqu’on attaque le sixième rang, le véritable plaisir commence.
À partir de l’intersection du chemin du Lac Mondor, la route descend ce qui mous donne un répit. De Saint-Jean-de-Matha à Sainte-Béatrix, les principales côtes sont celles attribuables aux vallées en V creusées par la rivière Noire et la rivière l’Assomption. Les deux ponts qui enjambent ces rivières sont au font de la vallée et on doit descendre pour les traverser et remonter par la suite. La descente vers la rivière noire est à 15% et permet d’atteindre plus de 90 km/h si on l’attaque à haute vitesse. La suite du parcours comporte la majorité des vallons. Après la montée qui suit le pont ont a une belle vue sur le 9% qui mène à Sainte-Béatrix et sur un beau 14% que l’on aperçoit au loin et qui n’est pas si pire que cela par ce qu’il est court.
Voici le chemin de Saint-Jean-de-Matha jusqu’à Sainte-Béatrix. La boucle en haut est à faire au retour afin d’avoir une meilleure vue sur la rivière Noire.
La petite tâche rouge est l’endroit où on peut dépasser 90 km/h, mais on doit avant tout s’assurer de pouvoir le faire sans danger ce qui n’est pas le cas quand le vent souffle trop fort. Voici quelques photographies de cette portion du parcours.
La montée de 9% vers Sainte-Béatrix, la position du clocher indique que l’on a pas fini de grimper.
Un beau petit 14% au loin dans le rang Saint-Joseph. Il faut tout d’abord grimper le 9% pour l’atteindre. Ce 14% est relativement court et n’est pas très difficile à grimper.
Voici la dernière portion du parcours que j’ai roulé dans le sens horaire.
Passer par Sainte-Mélanie est optionnel, mais par temps chaud, une des gourdes est normalement complètement vide rendu à ce point et on peut ravitailler au dépanneur de Sainte-Mélanie. Rendu là, on fait demi-tout afin d’éviter une route à fort débit de circulation.
Le trajet tel que tracé va directement à Sainte-Béatrix mais on peut aussi passer par le rang Saint-Joseph ce qui permet d’observer le paysage en haut du 14% précité.
On retourne au point de départ et une autre belle journée est terminée.
Maskinongé
Un petit 150 km pour le plaisir.
La ligne bleue résulte de l’oubli de réactiver le GPS après le ravitaillement au dépanneur de Sainte-Élizabeth. C’est une ligne droite qui ne suit pas la route, cette dernière étant visible tout près de la ligne.
Sur la route de Maskinongé, l’église Saint-Viateur offre une toilette aux cyclistes et un banc pour s’asseoir. La halte pour cyclistes est clairement identifiée.
C’est un parcours intéressant qui passe par Saint-Gabriel-de-Brandon, Saint-Norbert, Saint Viateur, Saint Barthélémy, Maskinongé, Sainte-Élizabeth, Lourdres-de-Joliette, Sainte-Mélanie et Sainte-Célophas-de-Brandon. Le paysage est beau le long du rang de la rivière Bayonne nord et il y a même un petit pont couvert.
C’est plat au sud de Saint-Norbert jusqu’à l’approche de Sainte-Mélanie. Le parcours ne compte qu’une seule pente de plus de 10% .
Je vais certainement refaire ce parcours.
La parcours des trois sommets
J’ai pris un certain retard dans la publication de mes randonnées mais je n’ai certainement pas arrêté de rouler. Voici le parcours du jour qui grimpe le col précédent par la face nord. On peut cliquer dessus pour le voir en mode plein écran sur le site GPSies.com .
La face nord est beaucoup plus abrupte que la face sud. Voici son profil d’élévation dont l’altitude est exagéré d’environ 20m. Je ne suis pas certain de la pente non plus par ce que le GPS n’est pas toujours fiable à basse vitesse lorsqu’il mesure la pente. Je peux quand même affirmer sans erreur que les passages mesurés à plus de 20% sont ardus.
Voici la différence, l’approche nord à gauche et l’approche sud à droite. On remarque sans peine que l’approche par la face sud est beaucoup plus facile.
Voici le profil de l’ensemble du parcours que j’ai nommé le parcours des trois sommets. J’ai passé par le site de Garmin afin de jouir de la correction d’altitude.
Rivière Blanche et Feuille d’Érable
J’ai découvert ce chemin en raison d’un détour imposé par des travaux routiers. Le Chemin de la Rivière Blanche et sa continuation, le rang de la Feuille d’Érable, cachent un beau petit sommet. J’ai baptisé le chemin qui y conduit le col sans nom.
Voici le profil d’élévation du col sans nom.
C’est une ascension relativement facile par ce que chaque grosse montée est suivie dune portion plus plate dans laquelle on peut récupérer.
Voici le parcours complet.
L’altitude du sommet est de 360m selon la correction d’altitude de Garmin Connect . Le chemin qui monte à 400m que l’on voit sur la carte est un chemin privé et non-pavé. Deux excellentes raisons de ne pas s’y aventurer en vélo de route.
Le paysage est très beau avec une rivière qui longe une partie du parcours. J’ai vu un canard égaré seul sans les canetons qui suivaient derrière. L’asphalte n’est pas superbe tout le long du parcours, mais la beauté du paysage vaut le détour. La descente principale est en mauvaise état et il faut utiliser les freins à plusieurs endroits.