Je partage la route

Archive pour la catégorie ‘Vélo’

Le col des cascades féériques est ouvert mais…

Les travaux sont terminés, mais comme on l’apprend dans le journal local, la municipalité à mis en demeure le contracteur en raison de la mauvaise qualité de l’asphalte. En fait, la qualité est inégale, la première section à 12%, en partant du bas, est excellente, c’est après que cela se corse.

Point de vue vélo, l’asphalte, bien que rugueuse, permet de réaliser un PB de descente sans forcer par ce qu’il n’y a plus de trous dangereux à éviter.

Conditions routières, 7 avril 2014

Les conditions routières ne sont pas encore recommandables pour le vélo de route. Voici quelques exemples qui illustrent les problèmes rencontrés.

Fondant à glace

Figure 1 : fondant chimique sur l’accotement pavé

Ces substances servant à faire fondre la glace sont corrosives. Seule une forte pluie ou le nettoyage des rues pourrait les enlever.


Flaque d'eau

Figure 2 Flaque d’eau

Il reste encore une quantité appréciable de neige et sa fonte peut causer des flaques d’eau parfois profondes.


Il reste de la neige

Figure 3 Il reste de la neige

Dans les rangs, les portions de route qui sont à l’ombre des arbres sont encore recouvertes de neige. Par exemple, le chemin du lac Corbeau qui contient à la foi de la neige et des fondants qui sont utilisé à profusion dans les côtes afin d’éviter qu’elle ne deviennent glacées.


Troisième catégorie

Figure 4 Montée de troisième catégorie pleine de fondant

Afin d’éviter les accidents d’automobiles, des quantités abusives de fondant sont épandues dans les côtes abruptes afin d’éviter qu’elles se couvrent de très dangereuse glace noire. En plus d’être corrosifs, cette espèce de sable offre très peu d’adhérence dans une pente à 20% dans laquelle l’adhérence est essentielle à la sécurité des cyclistes.

Le retour de bike routre toaster

Ce site très populaire est de retour en ligne, mais sans Google Map . On offre le choix de trois fournisseurs de cartes.

  1. Map Quest, qui utilise OpenStreetMap.
  2. OpenCyleMap, qui offre des courbes de niveau.
  3. Landscape, qui utilise OpenCycleMap.

La nouvelle fonction avoid hills n’est pas au point. Elle propose un trajet de 13,19 km qui emprunte un col de quatrième catégorie avec 188m de grimpe sans réaliser qu’il existe un parcours plus facile de 17,3 km avec 146m de grimpe. La différence peut sembler faible, mais le col comporte trois segments à 12%, 10% et 12%.  L’information sur la carte est mauvaise: elle indique un seul segment à 15%. Pire encore, l’intelligence artificielle du site a proposé un parcours évitant les côtes qui emprunte la rue Clark à Wesmount! Si un touriste si fiait à cette information, il aurait la surprise de sa vie sur la rue Clark supposément sans côte.

Le site possède une toute nouvelle interface utilisateur, vous pouvez la contempler en suivant ce lien http://bikeroutetoaster.com/BRTWebUI/Course/449506. Veuillez prendre note que cette carte est en zone rurale, qu’il y a peu de routes et qu’il faut agrandir l’image pour voir plus de détails.

Bike route toaster est inutilisable

Ce très populaire site de traçage de parcours vélos est en panne. Google ayant mis fin au support de la version 2 de l’API de cartes Google, ce site doit passer à la version 3.  Bikemap.net et gpsies.com sont en version bêta, mais ils semblent fonctionner correctement.

Le barrage de Saint-Didace

Le lac Maskinongé n’étant pas encore dégelé, tous les évacuateurs de crues du barrage sont en position ouverte, ce qui est rare.

 

Le parcours est encore sale et même très sale dans les rangs.

 

La saison de l’hybride n’est donc pas encore terminée.

 

Le parcours vous amène à la base de la Montagne à Zamette, nous en reparlerons une prochaine fois.

 

Le barrage de Saint-Didace http://www.saint-didace.com/tourisme/?id=28#moulin

Ma première sortie en 2013

Voici ma première sortie en hybride cette année. Les routes sont encore trop sales pour rouler en vélo de route.

J’ai ajouté une nouvelle source de cartes pour le traitement de mes entraînements. Cette carte, Open Cycle Map, à l’avantage d’offrir des courbes de niveau.

 

La fin des devinettes

Le parcours suivant à l’air enchanteur, il y a même une charmante montée de quatrième catégorie. Quel est donc le problème?

Ce parcours comporte des segments dépourvus de pavage qui sont difficiles à rouler en vélo de route. Mon objectif n’est pas de commencer un croisade visant à faire paver toutes les routes à faible débit, le gouvernement n’en a clairement pas les moyens. Je désire que les cartes indiquent clairement les segments sans asphalte. Dans ma jeunesse, ces segments étaient clairement indiqués, mais cette information est disparue avec le temps. Il faut la remettre. Même si site Québec 511 de Transports Québec ne comporte aucune information sur le pavage des routes.

Voici quand même quelques trucs qui permettent de deviner deviner les routes dépourvues de pavage. On peut dans Google Map placer le pointeur sur une intersection entre une route répertoriée et une route inconnue. Cela permet parfois de constater qu’une route n’est pas pavé. Cependant, il arrive qu’une route soit pavée uniquement sur quelques dizaines de mètres avant une intersection. Cette méthode permet d’affirmer avec certitude qu’une route n’est pas pavée mais elle n’est pas en mesure de prouver le contraire par ce qu’on ne voit qu’une petite partie de la route sur la photographie.


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Une autre méthode consiste à cliquer sur le petit bonhomme de Google Street View et à maintenir le bouton de gauche de la souris enfoncé sans le relâcher  Cela surligne en bleu les routes qui ont été parcourues par la voiture de Google. On voit facilement que le chemin du 9è Rang d’York n’est pas pavé sur une courte distance. C’est le genre de mauvaise surprise que l’ont apprécie pas en vélo de route.

Malheureusement, on ne peut pas se fier entièrement à cette méthode par ce que rarement, la voiture de Google passe par une route de terre comme c’est le cas ici.


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Cette rue a peut-être déjà été pavée comme en font foi les petits bouts d’asphaltes, cependant, elle ne l’est plus.

Le seul moyen fiable de pour connaître l’emplacement des routes sans asphalte serait de s’assurer que cette information figure sur les cartes. Il n’y a actuellement qu’une seule  carte qui offre cette information, il s’agit de Bing bêta. Lorsqu’on regarde la carte avec un grossissement suffisant, une route pavée apparaît comme un trait double tandis qu’un chemin de terre se présente sous la forme d’un trait simple. En réalité, le chemin Lafrenière est pavé sur quelques mètres de plus après le chemin England, mais pour un cycliste qui planifie un voyage, cela ne fait aucune différence.

Malheureusement, les limitations de cette version bêta sont ennuyeuses.  Le contour des lacs est imprécis pour les lac de grande dimension tandis que les petits lacs sont absents.

La carte de Bing


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La réalité

Les lacs sont importants pour se repérer: une intersection qui se situe après un lac est immanquable.  Comme on ne peut pas encore tracer un parcours vélo directement en utilisant la carte de Bing, on doit rapporter l’information sur une carte d’Open cycle Map ou sur une carte de Google avant de pouvoir tracer et transférer sur un GPS. La nature incomplète de la carte bêta rend ardue le transfert vers un autre carte plus complète.

Une belle boucle vallonnée

Voici une belle petite boucle sur laquelle il faudra s’habituer à ce genre de panneau. En fait,7%, c’est plutôt gentil comme pente.


Au début, on descend vers Saint-Gabriel-de-Brandon.  Sur 8,5 km, on monte de 37m et on descend de 68m. Un côte offre la possibilité de dépasser 50 km/h.  Lorsqu’on attaque le sixième rang, le véritable plaisir commence.

À partir de l’intersection du chemin du Lac Mondor, la route descend ce qui mous donne un répit. De Saint-Jean-de-Matha à Sainte-Béatrix, les principales côtes sont celles attribuables aux vallées en V creusées par la rivière Noire et la rivière l’Assomption. Les deux ponts qui enjambent ces rivières sont au font de la vallée et on doit descendre pour les traverser et remonter par la suite. La descente vers la rivière noire est à 15% et permet d’atteindre plus de 90 km/h si on l’attaque à haute vitesse.   La suite du parcours comporte la majorité des vallons. Après la montée qui suit le pont ont a une belle vue sur le 9% qui mène à Sainte-Béatrix et sur un beau 14% que l’on aperçoit au loin et qui n’est pas si pire que cela par ce qu’il est court.

Voici le chemin de Saint-Jean-de-Matha jusqu’à Sainte-Béatrix. La boucle en haut est à faire au retour afin d’avoir une meilleure vue sur la rivière Noire.

La petite tâche rouge est l’endroit où on peut dépasser 90 km/h, mais on doit avant tout s’assurer de pouvoir le faire sans danger ce qui n’est pas le cas quand le vent souffle trop fort. Voici quelques photographies de cette portion du parcours.

La montée de 9% vers Sainte-Béatrix, la position du clocher indique que l’on a pas fini de grimper.

Un beau petit 14% au loin dans le rang Saint-Joseph. Il faut tout d’abord grimper le 9% pour l’atteindre. Ce 14% est relativement court et n’est pas très difficile à grimper.

Voici la dernière portion du parcours que j’ai roulé dans le sens horaire.

Passer par Sainte-Mélanie est optionnel, mais par temps chaud, une des gourdes est normalement complètement vide rendu à ce point et on peut ravitailler au dépanneur de Sainte-Mélanie. Rendu là, on fait demi-tout afin d’éviter une route à fort débit de circulation.

Le trajet tel que tracé va directement à Sainte-Béatrix mais on peut aussi passer par le rang Saint-Joseph ce qui permet d’observer le paysage en haut du 14% précité.

On retourne au point de départ et une autre belle journée est terminée.

Maskinongé

Un petit 150 km pour le plaisir.

La ligne bleue résulte de l’oubli de réactiver le GPS après le ravitaillement au dépanneur de Sainte-Élizabeth. C’est une ligne droite qui ne suit pas la route, cette dernière étant visible tout près de la ligne.

Sur la route de Maskinongé, l’église Saint-Viateur offre une toilette aux cyclistes et un banc pour s’asseoir. La halte pour cyclistes est clairement identifiée.

C’est un parcours intéressant qui passe par Saint-Gabriel-de-Brandon, Saint-Norbert, Saint Viateur, Saint Barthélémy, Maskinongé, Sainte-Élizabeth, Lourdres-de-Joliette, Sainte-Mélanie et Sainte-Célophas-de-Brandon. Le paysage est beau le long du rang de la rivière Bayonne nord et il y a même un petit pont couvert.

C’est plat au sud de Saint-Norbert jusqu’à l’approche de Sainte-Mélanie. Le parcours ne compte qu’une seule pente de plus de 10% .

Je vais certainement refaire ce parcours.

La parcours des trois sommets

J’ai pris un certain retard dans la publication de mes randonnées mais je n’ai certainement pas arrêté de rouler. Voici le parcours du jour qui grimpe le col précédent par la face nord. On peut cliquer dessus pour le voir en mode plein écran sur le site GPSies.com .



La face nord est beaucoup plus abrupte que la face sud. Voici son profil d’élévation dont l’altitude est exagéré d’environ 20m. Je ne suis pas certain de la pente non plus par ce que le GPS n’est pas toujours fiable à basse vitesse lorsqu’il mesure la pente. Je peux quand même affirmer sans erreur que les passages mesurés à plus de 20% sont ardus.

Voici la différence, l’approche nord à gauche et l’approche sud à droite. On remarque sans peine que l’approche par la face sud est beaucoup plus facile.

Voici le profil de l’ensemble du parcours que j’ai nommé le parcours des trois sommets. J’ai passé par le site de Garmin afin de jouir de la correction d’altitude.

<a href= »http://www.gpsies.com/map.do?fileId=ngirmoswjngatkes » title= »GPSies – Le parcours des trois sommets »><img src= »http://www.gpsies.com/images/linkus.png » border= »0″ alt= »GPSies – Le parcours des trois sommets » /></a>